Nord-Kivu : une consœur journaliste et animatrice à la radio UB FM inquiétée par des gens de mauvais cœur

Huguette Kanumbu, une figure éminente de la radio, est actuellement en proie à une campagne de calomnie orchestrée par des individus malveillants. Cette campagne vise à ternir sa réputation et à compromettre son intégrité professionnelle.

Connue pour son talent exceptionnel et son engagement envers un journalisme de qualité, Huguette Kan se retrouve confrontée à des attaques sournoises visant à la diffamer. Depuis quelques jours, elle fait face à un flot incessant d’appels téléphoniques et de messages hostiles, ainsi qu’à la diffusion de vidéos trafiquées la mettant en scène de manière compromettante. Ces actes malveillants ont pour seul but de nuire à sa réputation et de la discréditer aux yeux du public.

Malgré ces attaques diffamatoires, Huguette Kanumbu reste déterminée à défendre son intégrité et sa dignité professionnelles. Elle refuse de se laisser intimider et reste résolue à poursuivre son combat pour des valeurs journalistiques et éthiques.

Dans un entretien avec Estinfo.net, Huguette Kanumbu a exprimé sa détermination à ne pas céder face à ces attaques. Elle souligne l’importance de rester fidèle à ses principes professionnels et de lutter contre les antivaleurs de toute nature.

Les avocats de Huguette Kanumbu ont annoncé leur intention de saisir les instances judiciaires pour déposer une plainte contre les auteurs de cette campagne de diffamation, ainsi que contre ceux qui ont relayé de fausses informations à son encontre. Ils se basent sur l’article 360 du Code numérique en vigueur en République démocratique du Congo, qui prévoit des sanctions sévères pour la diffusion de fausses informations sur les réseaux sociaux et autres plateformes électroniques.

En ces moments difficiles, nous appelons à la solidarité et au soutien envers Huguette Kanumbu, une professionnelle dévouée dont le travail mérite d’être respecté et valorisé. Il est essentiel que les services compétents veillent à la protection et au bien-être de notre consœur, afin qu’elle puisse continuer à exercer son métier en toute sérénité.

La rédaction